À chaque match de football féminin et plus particulièrement des USA, la même histoire de défaite face à des U15 de Dallas ressort comme argument pour prouver la « faiblesse » des f… Kacou Didier KOUAME. Je ne vais pais diminuer les faits des joueuses modernes et professionnelles ; il reste seulement que les motivations sont différentes. Le fait que la France soit le pays hôte de la compétition, ainsi que la couverture mise en place par l’ensemble des médias, allaient forcément contribuer au suivi attentif de l’ensemble de la population. Equipes de football féminin ont commencé à apparaître pour aider récolter fonds pour aider les soldats blessés. Sur le jour de Noël en 1917, cette équipe a un match dans lequel 10,000 spectateurs ont payé pour regarder la première victoire de l’équipe.
La conférence de la FIFA dépense moins d’argent sur le football féminin; par exemple, La Coupe du Monde Féminin en 2015 a été joué sur pelouse synthétique à la place de l’herbe naturel, ce qui est préférable et est utilisé pour les coupes du monde de les hommes.
Pour résumer, personne ne doit s’infliger la peine de regarder du football féminin si on le ressent comme tel, tout le monde s’en portera mieux. Avec toutes ces idées en tête, il est peut-être difficile à comprendre comment le football féminin n’a pas le pouvoir qu’il avait pendant les années immédiatement après la guerre. C’est difficile à répondre mais il est certain que le football masculin est un business qui représente des dizaines de million d’euros et qui intéresse beaucoup plus par son importance économique. À l’usine pour l’entreprise qui s’appelait Dick, Kerr & Co., les femmes ont crée une équipe après un défi amicale des hommes qui ont pensé que les femmes ne pouvaient pas jouer le sport. Ensuite, les femmes travaillaient au des usines et avaient des autres opportunités de faire les choses différents. Depuis 2005, la section féminine du collège François Villon (Paris, 14e) permet aux filles d'exister dans l'univers très masculin du football des quartiers. Dans la première guerre du monde, les femmes aux États-Unis avaient plus de responsabilité parce qu’il y a beaucoup des hommes qui devaient combattre en Europe. Les femmes n’ont pas toujours eu les mêmes droits que les hommes – on est en droit de se demander si c’est encore le cas aujourd’hui… – et le milieu du football n’a pas fait exception. Aussi, historiquement il y a plus de gens qui aiment regarder les hommes et encore il y a plus d’argent pour les hommes. La différence entre le deux est que les femmes dans le livre devaient avoir plus de confidence parce qu’ils étaient les pionniers du sport. Ce n’est là que l’un des nombreux exemples des inégalités répandues dans le monde du football féminin.
Pour les vrais passionnés de football, qu’importe le niveau.
Peut être que le football féminin et moins médiatisé car il est plus récent que le football masculin ou bien car le football masculin peut être plus impressionnant à regarder ? Elles jouaient pour deux raisons : pour la joie de jouer et parce qu’il les amuse, et pour aider les invalides avec par l’argent charitable. Ceci n’a vraiment pas de sens et montre le sexisme et la puissance des hommes durant cette période. Par prolongement, citer comme excuse l’hégémonie de l’OL de Wendie Renard pour ne pas suivre le championnat de France féminin apparait un peu comme hypocrite quand la Ligue 1 vit peu ou prou la même situation avec le PSG.Il faut rappeler que personne n’oblige ceux qui regardent le football féminin et qui trouvent ce spectacle indigne. Le livre de Newsham m’a appris comment le football féminin a commencé, et j’étais très surprise quand j’ai lu que le sport a commencé pendant la première Guerre Mondiale dans les usines dans lesquelles les femmes travaillaient.