Vous êtes de faux nègres, vous maniaques, féroces, avares. Et le moi réel qui ne peut plus, dit au moi virtuel : "C'est ton affaire. Critiques, citations (8), extraits de Mauvais sang de Christophe Vasse. La race inférieure a tout couvert – le peuple, comme on dit, la raison ; la nation et la science.Oh ! Cet hologramme ne possède plus son identité entière et cependant, comme dans tout hologramme, chaque partie restante conserve une image et une représentation complète du tout.Ainsi y a-t-il aujourd'hui pour moi, un moi réel qui n'est plus que le quart ou la moitié d'un homme, et un moi virtuel, qui conserve encore vive une idée du tout.
Nager, broyer l’herbe, chasser, fumer surtout ; boire des liqueurs fortes comme du métal bouillant, – comme faisaient ces chers ancêtres autour des feux.Je reviendrai, avec des membres de fer, la peau sombre, l’oeil furieux : sur mon masque, on me jugera d’une race forte.
l’Évangile.J’attends Dieu avec gourmandise. Si besoin en était.nb : seul bémol, ces livres sont attrocement chers, ne sortent pas en poche, se trouvent rarement d'occasion - à croire que tous ces lecteurs les gardent ensuite précieusement -. Mais l’horloge ne sera pas arrivée à ne plus sonner que l’heure de la pure douleur !
Moi aussi, bien souvent, je ressens cette limite de "l'énergie allouée".
J’ai de mes ancêtres gaulois l’oeil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. Plus de vagabonds, plus de guerres vagues. Pas même un compagnon. On a tout repris. les poumons brûlent, les tempes grondent ! Le canon ! Quelle sainte image attaque-t-on ? Je serai mêlé aux affaires politiques. C'est toi seul qui vois la totalité.". Je ne me crois pas embarqué pour une noce avec Jésus-Christ pour beau-père.Je ne suis pas prisonnier de ma raison.
On ne te tuera pas plus que si tu étais cadavre. l’Évangile ! Les goûts frivoles m’ont quitté. J’entre au vrai royaume des enfants de Cham.Les blancs débarquent.
qui a fait ma langue perfide tellement qu’elle ait guidé et sauvegardé jusqu’ici ma paresse ?
Mais je puis être sauvé. Ainsi point de vieillesse, ni de dangers : la terreur n’est pas française.– Ah ! Je ne puis comprendre la révolte. Bonne chance, criais-je, et je voyais une mer de flammes et de fumées au ciel ; et, à gauche, à droite, toutes les richesses flambant comme un milliard de tonnerres.Mais l’orgie et la camaraderie des femmes m’étaient interdites. au combat ? "La fatigue perpétuelle, et presque permanente, fait que je vis depuis ma jeunesse dans un dialogue similaire, d'où sans doute le fait que par rapport à mon âge réel, je me sente plus âgée, confrontée sans cesse à des limites physiques invisibles et qui sont celles de mon énergie diminuée.Il ne nous reste plus, thalassémiques, qu'à nous dire qu'au moins si par très étrange miracle nous vivons très très vieux, nous serons déjà fort bien entraînés aux contraintes de cet état et qui ne nous sera peut-être pas plus pénible que ce(ux) que nous aurons déjà traversé(s). Mais toujours seul ; sans famille ; même, quelle langue parlais-je ? – Je me tue ! – Reprenons les chemins d’ici, chargé de mon vice, le vice qui a poussé ses racines de souffrance à mon côté, dès l’âge de raison – qui monte au ciel, me bat, me renverse, me traîne.La dernière innocence et la dernière timidité. Dieu fait ma force, et je loue Dieu.L’ennui n’est plus mon amour.
Le monde est bon.
C’est dit. Mauvais sang | Poème d'Arthur Rimbaud, mauvais sang une saison en enfer, Arthur Rimbaud, J'ai de mes ancêtres gaulois l'oeil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. Oui, on peut être fatigués, mais cependant lutter et mener une vie qui vaut la peine.Au passage, par le simple fait qu'il décrit ce qu'il fait selon l'état dans lequel il se trouve, on peut puiser une foule d'idées sur le "faire avec", qui est, certains jours, si difficile à composer.Ce n'est pas parce que nous sommes des sur-fatigués que nous sommes des sous-humains. Ma race ne se souleva jamais que pour piller : tels les loups à la bête qu’ils n’ont pas tuée.Je me rappelle l’histoire de la France fille aînée de l’Église. – Je n’aurai jamais ma main. Découvrez le meilleur des citations sur sang, mais aussi des phrases célébres sur sang, des citations sur sang issues de discours, des pensées sur sang, des paroles de chansons sur sang, des citations de célébrités ou des citations … Mon innocence me ferait pleurer.
Madame N. est une femme formidable, sans doute parfois trop (1), mais dont l'amitié inattendue m'honore. Des amis exceptionnels peuvent faire d'épouvantables et épuisants parents ou conjoints.